C’était au cours d’une table ronde placée sous la modération de, Roland Njamsi Nteban, l’inspecteur général de ce département ministériel.
Le 1er mai prochain, le Cameroun, de concert avec l’ensemble des pays de la planète célébrera la 138eme édition de la Fête du Travail. Une commémoration placée dans ce pays d’Afrique centrale sous le thème : « Dialogue social constructif : Facteur de promotion du travail décent et du progrès social ».
En prélude à cette journée commémorative de ce que représente le travail pour les camerounais à travers le monde, une table ronde a donc été organisée à Yaoundé par le ministère du travail et de la sécurité sociale, ce 25 avril 2024. Réuni autour d’une table, les responsables des services centraux et déconcentrés de ce ministère ont abondamment épilogué sur ce thème fort évocateur de cette année, ainsi que sur ses implications.

Des différents orateurs qui se sont succédés, l’essentiel à retenir de leurs interventions est qu’il existe un lien fondamental entre le travail décent, le progrès social et le dialogue social constructif qu’il convient toujours de privilégier en cas de conflits entre employeurs et employés.
Très important, le dialogue social a-t-on appris, favorise la négociation dans la société, soutien l’envie de négocier pour promouvoir le rôle des représentants du personnel pour ne citer que ces cas. D’où l’appel à un dialogue social franc et constructif lancé par l’inspecteur général . « Ce n’est que seulement à travers ce dialogue qu’on peut trouver les solutions aux problèmes des travailleurs, améliorer leurs conditions de vie et de travail et finalement aboutir à un travail décent », a-t-il rappelé. Pour cela, toutes les parties concernées doivent pleinement jouer leurs rôles.
Julien Efila
