Le Ministère International de la Puissance de la Résurrection de Christ ( MIPRC) Auto Auto fondé par l’apôtre Charles Passo, et dirigé au Cameroun par le Réverend Pasteur Silas Affolabi Chabi, est actuellement la cible d’une campagne de lynchage mediatique infame. C’est suite au déces d’une de ses fideles la nommée Nkouah Ayissi Melissa.
Le 28 août dernier, Mademoiselle Nkouah Ayissi Mélissa, alors qu’elle se trouvait en détresse physique, est décédée dans un taxi alors que son petit ami, ancien pianiste de la chorale du MIPRC, l’accompagnait en urgence vers un hôpital. Selon des sources concordantes, le jeune homme, qui avait quitté le MIPRC pour rejoindre une autre congrégation religieuse, était accompagné des membres de sa nouvelle église au moment de cet incident tragique. Les deux jeunes gens s’étaient rencontrés au sein du MIPRC, où ils avaient noué des liens qui se sont poursuivis au-delà du cadre strictement religieux. Bien que son petit ami ait quitté le MIPRC, Nkouah Ayissi Mélissa avait choisi de rester fidèle à cette communauté religieuse, malgré le départ tumultueux de ses parents du ministère. Ces derniers avaient coupé les ponts avec l’église dans des circonstances peu claires, laissant place à une tension sous-jacente.
Une campagne bien orchestrée
À la suite de ce drame, des voix se sont élevées, principalement du côté des parents de la défunte, accusant le MIPRC, et plus particulièrement le Révérend Silas Affolabi Chabi, de pratiques mystiques qui auraient conduit au décès de la jeune femme. Cette accusation, infondée selon les proches de l’église, a été relayée par des personnes mal intentionnées, amplifiant ainsi une campagne de désinformation et de manipulation visant à ternir l’image du ministère. Le Révérend Silas Affolabi Chabi, connu pour son engagement spirituel et son intégrité, n’a pas tardé à réagir face à ces attaques. Il s’est personnellement impliqué dans l’enquête, collaborant étroitement avec les forces de l’ordre pour faire toute la lumière sur cette affaire. C’est d’ailleurs grâce à son intervention que les premiers suspects ont été identifiés et entendus dans le cadre de
l’enquête préliminaire.
L’impact des rumeurs sur la réputation du MIPRC La propagation des accusations mystiques et des théories complotistes sur les réseaux sociaux et dans certains médias locaux a profondément affecté la réputation du MIPRC. Le ministère, qui compte des milliers de fidèles à travers le pays, se voit ainsi plongé dans une tempête médiatique alimentée par des informations fausses ou déformées. Les réseaux sociaux, en particulier, jouent un rôle central dans la diffusion de ces rumeurs, offrant une tribune à ceux qui cherchent à discréditer l’institution religieuse.
Pour les responsables du MIPRC, ces accusations sont non seulement infondées, mais elles relèvent également d’une volonté manifeste de nuire à leur mission spirituelle. Ils estiment que les parents de la défunte, en proie à la douleur, sont manipulés par des individus cherchant à instrumentaliser ce drame pour des fins inavouées. Un appel au discernement et à la vérité. Face à cette campagne de dénigrement, les responsables du MIPRC appellent au calme et au discernement. Le Révérend Silas Affolabi Chabi, dans une récente déclaration, a exhorté les fidèles et le grand public à ne pas se laisser manipuler par des rumeurs non vérifiées. « Nous devons faire confiance à la justice et aux autorités compétentes pour mener cette enquête à son terme et faire éclater la vérité », a-t-il affirmé. Le ministère se dit confiant quant à l’issue de l’enquête, tout en regrettant que des individus utilisent ce drame pour alimenter des conflits religieux et ternir l’image de l’église.
Les membres de la communauté continuent de manifester leur soutien indéfectible au Révérend Silas Affolabi Chabi et à l’ensemble des responsables du MIPRC. Une enquête en cours. Les autorités en charge de l’enquête travaillent activement pour élucider les circonstances exactes du décès de Nkouah Ayissi Mélissa. Jusqu’à présent, aucun élément concret ne permet de lier le MIPRC ou ses dirigeants aux accusations de mysticisme qui circulent. Les premiers témoignages recueillis, y compris ceux du petit ami de la défunte, n’apportent aucun soutien à ces théories. Le MIPRC espère que la vérité triomphera rapidement et que justice sera rendue à la mémoire de Nkouah Ayissi Mélissa, dont le décès reste une perte tragique pour sa famille et pour l’ensemble de la communauté chrétienne à laquelle elle appartenait.
Dans un contexte où la désinformation et la manipulation deviennent des outils de destruction de la réputation, il est plus que jamais essentiel de vérifier les faits avant de relayer des accusations graves. Le Ministère International de la Puissance et de la Résurrection de Christ, victime de cette campagne de dénigrement, espère que la justice permettra de restaurer la vérité et de faire taire les rumeurs malveillantes.
La réaction de l’apôtre Charles Passo
Apôtre, votre église est aujourd’hui au centre d’une polemique au sujet du deces d’une jeune fidele qu’on dit avoir eté victime de rites sacrificiels. Qu’en est-il exactement ?
Je voudrais avant toute chose m’incliner devant la mémoire de notre sœur Mélissa. Comme vous pouvez vous en doutez, c’est un moment très difficile tant pour sa famille nucléaire que pour sa famille religieuse. Je voudrais vous dire que la nouvelle du décès de Nkouah Ayissi Mélissa nous a été donnée par la voix de son petit ami qu’elle a connu alors que tous les deux officiaient au sein de la chorale de notre ministère. C’est lui qui constatant que sa compagne se tordait de douleurs abdominales a décidé de la conduire à l’hôpital. Malheureusement le pire serait arrivé en chemin. C’est comme cela que ce dernier a alerté certaines femmes de sa nouvelle congrégation religieuse pour les tenir informés de ce que sa copine venait de décéder avant par la suite de nous téléphoner parce que Mélissa était resté membre de notre Ministère. Et c’est une fois rendu sur le site que nos collaborateurs se sont retrouvés face à face avec les parents de l’enfant qui ont commencé à nous traiter de tous les noms d’oiseaux.
N’en déplaise à certains et contrairement à ce qui est véhiculé, son petit ami et ses sœurs de cette nouvelle congrégation religieuse ont poursuivi le route jusque dans un hôpital de Soa où le médecin en poste a dressé un certificat de genre de mort. Ce n’est que par la suite que nous apprendrons à travers certains médias et les réseaux sociaux que notre enfant est décédée au sein du Ministère International de la Résurrection de Christ des suites de pratique d’un rituel satanique. Des déclarations de la maman de la défunte qui malheureusement avait quitté le Ministère.
Je voudrais monsieur le journaliste vous rappeler que la tante de Mélissa chez qui celle ci vivait a, une fois au courant de l’affaire fait des révélations sur les traitements psychologiques et physiques que l’enfant subissait en silence. Des déclarations qui ont été confirmés par le petit ami de la défunte et qui ont fait l’objet de la saisine des services sociaux compétents.
Reconnaissez vous les personnes qui sont citées dans ces événements ?
Bien évidemment. La défunte était jusqu’à sa mort une fidèle du Ministère International de la puissance de la Résurrection de Christ dans la communauté de Nkolmesseng dans le 5eme arrondissement de Yaoundé. Malgré nos appels à respecter la décision de ses parents lui interdisant de venir à l’église elle a continué dans sa foi. Les parents sont d’anciens membres de l’église. Le beau père de la défunte (qui s’en est occupé après le décès de son géniteur) aussi mais il a été exclu pour des raisons de malversation financière. La tante qui a dévoilé le calvaire que subissait sa nièce n’est pas membre de notre église. Mais plutôt celle chez qui l’enfant s’est confiée. Le supposé petit ami lui est un ancien pianiste de notre église qui également fait état des confessions de la disparue allant jusqu’à des abus sexuels du tuteur légal. D’autres confessions selon les mêmes sources révèlent que la maman est arrivée dans une grande école de Yaoundé où l’enfant était inscrite et se serait déshabillée en signe de malédiction de sa fille.
Pourquoi avoir continué d’accueillir la jeune fille alors que ses parents avaient quitté l’église ?
Vous devez comprendre que je suis avant tout un serviteur de dieu. Et dans aucune maison du Seigneur on ne peut pas se permettre de chasser un fidèle. Le travail des Hommes de Dieu que nous sommes consiste à accueillir toutes les brebis du Seigneur, de les écouter, de les aider et de les accompagner au quotidien dans leur quête de foi et d’espérance. Ne me demandez pas de chasser un fidèle qui vient dans la maison du Seigneur. Je ne le ferai jamais. Et aucun vrai homme de dieu ne peut le faire.
Qu’est ce que l’église a fait pour la manifestation de la variété ?
Nous nous sommes rapprochés des éléments des forces de sécurité dans le but de déterminer avec exactitude les circonstances dans lesquelles cette mort est arrivée et surtout quelles peuvent en être les causes. Cela est d’autant plus important que notre fille a été aperçue pour la dernière fois à l’église mercredi avant sa mort. C’est d’ailleurs pourquoi nous avons aidé à rendre possible l’audition de son supposé petit ami. Lequel coopère normalement. Nous allons prier pour la manifestation de la vérité et surtout pour que si coupable existe que ce dernier soit puni. Nous espérons également à la justice divine pour que les autorités fassent tout le nécessaire pour que justice soit rendue et que l’âme de notre sœur repose en paix.