Le 1er mai dernier, la Commission des Droits de l’Homme du Cameroun (CDHC) a organisé une cérémonie festive pour célébrer la 139e édition de la Journée internationale du travail, sous le thème « Dialogue social et travail décent pour un Cameroun serein ».

C’est la cour arrière du siège de la CDHC à Yaoundé qui a servi de cadre ce 1er mai à la célébration festive de la journée internationale du travail dans cette institution après une parade très remarquée au boulevard du 20 mai.
À cette occasion, le représentant personnel du président de la commission a souligné l’importance de cette journée pour rendre hommage aux hommes et aux femmes qui, par leur engagement, leur persévérance et leurs sacrifices, contribuent à bâtir une société plus juste et équitable. Il a insisté sur la nécessité de renforcer la solidarité et le respect des droits des travailleurs dans un contexte mondial marqué par la mondialisation et l’impact des nouvelles technologies.

Le représentant de James Mouangué Kobila a également rappelé que chaque travailleur mérite d’être traité avec respect, dignité et équité, insistant sur le fait que le respect des droits fondamentaux est la clé de la prospérité d’une société. Il a souligné que le droit au travail décent, la protection sociale et le dialogue social sont des piliers essentiels pour garantir la dignité humaine et le progrès social.
Par ailleurs, il a rassuré le personnel que toutes leurs doléances seraient fidèlement transmises au président de la commission. Il a insisté sur le rôle crucial du dialogue social pour construire une société plus harmonieuse, juste et tournée vers la paix sociale.
Ce rassemblement annuel aura in fine été le cas de rappeler que le respect des droits des travailleurs n’est pas seulement une obligation légale, mais aussi un principe fondamental qui garantit la stabilité et la cohésion sociale. La CDHC réaffirme ainsi son engagement à œuvrer pour un environnement professionnel où la dignité humaine est au cœur des préoccupations.
Julien Efila

