Malgré la morosité de la conjoncture actuelle du pays, le trésorier payeur général de Yaoundé I, en manager avant-gardiste, a pris des dispositions pour rendre effectifs et à temps, des payements des salaires et autres prestations dans l’optique, d’assurer une rentrée scolaire paisible et harmonieuse aux populations de Yaoundé.
Tout le monde le sait, le mois d’août précède la rentrée scolaire au Cameroun. Une période de casse-tête pour les parents qui se soucient de la scolarité de leurs progénitures. Ils doivent s’assurer que les inscriptions sont faites à temps. Que les fournitures aient été achetées. Pour cela, le portemonnaie doit être plein.
A Yaoundé, en cette année 2024, pour ce qui est du ressort territorial du poste comptable de Yaoundé I, le patron des lieux a pris toutes les dispositions nécessaires pour que, dès le 22 août, les ressources soient disponibles pour une effectivité de paiement des salaires et autres prestations, le 23 août au petit matin. Une mesure qui a connu un écho favorable et très appréciée par la population. L’inspecteur principal du trésor qui a un sens élevé du travail bien fait milite pour le retour à l’orthodoxie et de la diligence dans les paiements tel que prescrit par sa hiérarchie. Des réformes qui ne font pas que des émus.
En effet, il y a quelques semaines, il était au centre d’un tissu de mensonges colporté par des collègues mécontents de ce manager intransigeant sur la rigueur et la bonne gouvernance. Fort heureusement, Nodjingar Alim Ahmadou est resté imperturbable et concentré sur ce qu’il y a à faire de mieux. C’est-à-dire, servir son pays. Pour lui, qui est au service du Cameroun, Quand on sert les intérêts de son pays avec sérieux et orthodoxie, les embûches que l’on place sur son chemin ne doivent pas vous décourager. Au contraire, elles doivent renforcer votre détermination. Voilà pourquoi, il ne cesse de multiplier des actes patriotiques selon ses compétences. Parmi ces actes, il y a cette mesure qui vient de faire des parents des heureux de cette rentrée scolaire.
Fabrice ASSOUM

